Ouest France - 25 mars 2010

Ouest France - 23 mars 2010

Philippe Gosselin, Député et Président de la Fédération UMP de la Manche,

réagit au lendemain du 1^er tour des élections régionales en Basse-Normandie

« Depuis l’annonce des résultats du premier tour des élections régionales, deux sentiments m’habitent : la déception et l’espoir.

La déception face au taux d’abstention d’une part. En tant que responsable politique, je suis effrayé de voir qu’autant de personnes ont boudé les urnes hier. C’est à la fois une marque d’indifférence, une marque de défiance et un SOS. Nous vivons une crise profonde et je regrette sincèrement que les citoyens se sentent désarmés et incompris au point de renoncer à l’exercice du droit de vote.

La déception face au score enregistré par la liste de la majorité présidentielle en France et en
Basse-Normandie d’autre part. Malgré la qualité du projet et le talent de notre tête de liste
Jean-François LE GRAND, les résultats n’ont pas été au rendez-vous au soir du premier tour, à l’exception du département de la Manche où la liste arrive en tête.

Et pourtant je garde espoir car je sais que notre projet est le seul susceptible de donner une nouvelle impulsion à notre belle région dont les atouts si nombreux ont été tristement sous-exploités pendant les six dernières années. Je sais que seules les propositions émises par Jean-François LE GRAND pourront apporter à la Basse-Normandie le dynamisme économique dont elle a tant besoin grâce à un aménagement du territoire audacieux respectueux de l’environnement et valorisant les compétences de toutes ses forces vives sans exception. Je sais enfin que seul le projet de
Jean-François LE GRAND et de son équipe est crédible car il ne concerne que les domaines de compétences de la région et ne contient pas d’opération séduction à visée électoraliste qui dépasserait ce champ d’action et gaspillerait les deniers publics.

C’est ce message, c’est ce projet régional porté par des candidats régionaux auquel nous allons sensibiliser les Bas-Normands cette semaine. Ce sont les électeurs bas-normands et eux seuls qui doivent décider de l’avenir de leur région. »