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Haras de Saint-Lô : Philippe Gosselin à nouveau mobilisé
Haras de Saint-Lô : Philippe Gosselin à nouveau mobilisé
Il y a un an exactement, Philippe Gosselin était intervenu auprès du Directeur général des Haras de l’époque, Monsieur François Roche-Bruyn, au sujet de l’avenir du Haras de Saint-Lô. Celui-ci lui avait par écrit donné des assurances quant au maintien des activités sur ce site.
Or, depuis quelques temps, de nouvelles inquiétudes refont surface. Le Haras de Saint-Lô pourrait ainsi disparaître à moyen terme ou être vidé de sa substance.
« Une mort lente et insidieuse du Haras de Saint-Lô est inacceptable. Cet établissement est essentiel à Saint-Lô, capitale du cheval et berceau du cheval de selle français. Avec le Haras du Pin, c’est un des piliers du pôle d’excellence de la filière équine » précise le député.
Le Haras de Saint-Lô a un rôle économique indiscutable pour toute la filière cheval du département. Il a également un rôle touristique majeur qui pourrait d’ailleurs être développé avec de nouvelles présentations notamment une muséographie, actuellement à l’étude.
C’est pourquoi, Philippe Gosselin a de nouveau plaidé son maintien auprès de Bruno LE MAIRE, Ministre de l'Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche, et de la Directrice générale des Haras nationaux Nicole BLANC.
« Les synergies autour du Haras de Saint-Lô sont très fortes. Alors que la candidature bas-normande aux Jeux équestres mondiaux de 2014 vient d’être retenue, il n’est pas envisageable que l’Etat se désengage. Les collectivités font des efforts énormes, les professionnels sont mobilisés tout comme les personnels et on ne peut envisager une disparition » conclut Philippe Gosselin, déterminé à obtenir le maintien de l’établissement.
Crise laitière : Philippe Gosselin déçu par les conclusions du Conseil des Ministres européen
Crise laitière :
Philipe Gosselin déçu par les conclusions du Conseil des Ministres européen
Philippe Gosselin, Député de la Manche, regrette l'issue du Conseil des Ministres de l'agriculture des 27 pays européens qui s'est tenu lundi 5 octobre à Bruxelles.
« Certes, la France est à l'origine d'un changement de cap dans la stratégie de l'Union Européenne. Il est en effet prévu une réouverture de l'Organisation Commune de Marché Unique en donnant à la filière lait l'accès aux clauses d'urgence et en établissant des relations équilibrées entre producteurs et transformateurs.
Certes, la France a malgré tout obtenu que soit étudiée une amélioration des outils de régulation et du niveau d'intervention. Un groupe d'expert de haut niveau a d’ailleurs été créé et devra donner ses conclusions en juin 2010.
Certes, des mesures franco-françaises vont être mises en œuvre afin de répondre à l'urgence et permettre aux producteurs de lait de passer un cap difficile.
Tout cela est positif. Mais cette rencontre demeure décevante car rien de vraiment concret n'a été décidé. Il faut aller plus loin et rappeler que c’est toute l’agriculture qui est concernée et l’ensemble de ses filières : lait, viande, fruits et légumes. Les enjeux sont tout simplement ceux de notre sécurité et de notre souveraineté alimentaires.
De plus, l’horizon 2010 est trop éloigné. Il est donc impératif que, lors de la prochaine réunion des ministres de l'agriculture prévue le 19 octobre, Bruno LE MAIRE reformule les propositions de la France qui rallient quand même – ne l’oublions pas ! – 19 autres pays.
Oui le combat des agriculteurs est juste ! Ils contribuent aussi à l'aménagement et au développement économique des territoires ruraux. Nous ne les laisserons pas tomber ».
Dysfonctionnements multiples à la SNCF : Philippe Gosselin réagit
Dysfonctionnements multiples à la SNCF : Philippe Gosselin réagit
Un nouvel incident est intervenu dans la nuit de dimanche à lundi sur la ligne Paris-Cherbourg qui a entrainé un retard de plus de quatre heures. Comme beaucoup d’utilisateurs réguliers de la ligne, le député de Saint-Lô dit son ras-le-bol.
« Régulièrement des trains partent en retard au motif qu’ils ont besoin d’être préparés (sic). Depuis le mois d’août, il n’existe plus non plus de vente ambulante à bord, sans compter les difficultés persistantes de l’accès au réseau de téléphonie mobile. Quant à la ligne Paris-Granville, le service est indigne d’une grande société nationale telle que la SNCF et on se f… manifestement des usagers. »
Le député a donc écrit une fois de plus au Président de la SNCF, Guillaume PEPY, pour lui exprimer ce ras-le-bol des bas-normands qui, en 2009, ne peuvent se rendre sereinement à Paris. A l’heure où le développement durable est une exigence citoyenne, comment inciter à utiliser les transports en commun quand le service est si mal assuré ?