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Les députés Philippe Gosselin et Guénhaël Huet soutiennent Jean-François COPÉ
Les deux députés UMP de la Manche, Philippe GOSSELIN et Guénhaël HUET, apportent leur soutien à Jean-François COPÉ dans la course à la présidence de l'UMP.
« Jean-François COPÉ, au côté duquel nous avons travaillé lorsqu'il présidait le groupe UMP à l'Assemblée nationale et avec qui nous avons noué des liens forts autour de convictions communes, nous apparaît comme le candidat le mieux à même de diriger l'UMP. Sa personnalité, sa détermination, son intelligence et son courage politique tout comme sa grande connaissance de la vie publique française sont autant de qualités nécessaires au rassemblement de notre famille politique et à la conduite d'une opposition vigilante, constructive et sans complaisance. »
Le président de l'UMP sera élu le 18 novembre par les quelque 280.000 adhérents à jour de cotisation. Jean-François COPÉ a officialisé sa candidature dimanche 26 août à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône).
Communiqué de presse sur la baisse des taxes sur le carburant : « un miroir aux alouettes et un jeu dangereux »
Proposition du Gouvernement en réponse à la hausse du prix du carburant :
« un miroir aux alouettes et un jeu dangereux »
Durant la campagne électorale pour l’élection présidentielle, le candidat François Hollande avait promis aux Français de bloquer les prix du carburant qui avaient considérablement augmenté, pesant ainsi lourdement sur le pouvoir d’achat des ménages. « Une fois élu, exit la promesse électorale qui a pourtant incité de nombreux citoyens à choisir le candidat du parti socialiste ! » commente le député Philippe Gosselin. « Le candidat de l’UMP, Nicolas Sarkozy, avait eu, lui, l’honnêteté de dire qu’il n’était pas envisageable de bloquer les prix du carburant et qu’une baisse des taxes serait inefficace sur le prix à la pompe et très coûteuse pour les finances publiques. En dépit du contexte de campagne électorale, Nicolas Sarkozy a su résister aux sirènes de la démagogie et, à l’inverse de son adversaire, il n’a pas pris d’engagements qu’il ne pouvait tenir. Une diminution de 10 centimes du prix à la pompe, c’est 4 milliards d’euros de manque à gagner pour l’Etat qu’il faudra compenser d’une façon ou d’une autre. Concrètement, ce que nous propose le Gouvernement aujourd’hui, cela revient tout simplement à donner de l’argent au consommateur pour le reprendre au contribuable. C’est un miroir aux alouettes et un jeu dangereux.»