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Visite du GAEC Gallet des Champs de Losque avec les JA et la FDSEA
Ce lundi matin, les Jeunes Agriculteurs de la Manche et la FDSEA avaient convié les parlementaires de la Manche à une visite du GAEC Gallet situé aux Champs-de-Losque dans le canton de Marigny, une exploitation laitière sur laquelle deux jeunes sont installés. Cette rencontre a permis d'aborder plusieurs enjeux et points de préoccupations de la profession : l'installation et son financement, le fonctionnement du PMBE (Plan de Modernisation des Bâtiments d'Elevage), la réforme de la PAC et surtout, la hausse des charges et des matières premières qui pèse actuellement lourdement sur les exploitants. Les quatre députés de la Manche étaient présents. Philippe Gosselin s'est montré tout particulièrement sensible à l'installation des jeunes, qui "doit impérativement demeurer une priorité du gouvernement comme ça l'a été durant les cinq dernières années, avec des résultats probants. J'y veillerai."
Communiqué de presse sur la baisse des taxes sur le carburant : « un miroir aux alouettes et un jeu dangereux »
Proposition du Gouvernement en réponse à la hausse du prix du carburant :
« un miroir aux alouettes et un jeu dangereux »
Durant la campagne électorale pour l’élection présidentielle, le candidat François Hollande avait promis aux Français de bloquer les prix du carburant qui avaient considérablement augmenté, pesant ainsi lourdement sur le pouvoir d’achat des ménages. « Une fois élu, exit la promesse électorale qui a pourtant incité de nombreux citoyens à choisir le candidat du parti socialiste ! » commente le député Philippe Gosselin. « Le candidat de l’UMP, Nicolas Sarkozy, avait eu, lui, l’honnêteté de dire qu’il n’était pas envisageable de bloquer les prix du carburant et qu’une baisse des taxes serait inefficace sur le prix à la pompe et très coûteuse pour les finances publiques. En dépit du contexte de campagne électorale, Nicolas Sarkozy a su résister aux sirènes de la démagogie et, à l’inverse de son adversaire, il n’a pas pris d’engagements qu’il ne pouvait tenir. Une diminution de 10 centimes du prix à la pompe, c’est 4 milliards d’euros de manque à gagner pour l’Etat qu’il faudra compenser d’une façon ou d’une autre. Concrètement, ce que nous propose le Gouvernement aujourd’hui, cela revient tout simplement à donner de l’argent au consommateur pour le reprendre au contribuable. C’est un miroir aux alouettes et un jeu dangereux.»